jeudi 28 février 2013

Le conseil de Bugno

Gianni Bugno (Italie) [président de l'association internationale CPA/Cyclistes Professionnels Associés - et bien sûr 2e du Tour de France 1990, champion du monde 1991, champion du monde 1992] : " Notre produit, c'est le Tour, le Giro, la Vuelta, cinq classiques patrimoniales. Ce qu'il faut vendre, c'est ça. La nouveauté n'est pas d'aller courir en Chine, mais de faire en sorte qu'un jour un Chinois puisse gagner le Tour. "

Propos recueillis par Philippe Brunel / L'Equipe, jeudi 28 février 2013

dimanche 17 février 2013

Tony supersonique / Überschall-Tony

Tony Martin (Allemagne / Omega Pharma - Quick-Step) [vainqueur du Tour d'Algarve et notamment du contre-la-montre final de 34,8 km en 45' 09''] : " Das ich mit einer Minute Vorsprung mehr als deutlich gewonnen habe, ist für die Konkurrenz sicher eine ordentliche Ansage. Ein wenig schreibe ich diese Leistung auch meiner neuen Position zu, durch die ich ein paar Watt spare. Wie ich vor einiger Zeit schon erwähnt hatte, war ich im Windkanal und habe daraufhin den Lenker noch tiefer gestellt. Ich war zugegeben sehr gespannt, ob ich diese aggressive Haltung im Wettkampf durchhalte, aber es lief perfekt. "
[" Avec une minute d'avance [1' 9'' de moins que son coéquipier Michal Kwiatkowski, 2e du contre-la-montre], ma victoire est nette, et même plus que ça : c'est un bel avertissement adressé à mes adversaires. Cette performance est due en partie à ma nouvelle position, grâce à laquelle j'économise quelques watts. Comme je l'avais récemment relaté, j'ai fait des essais en soufflerie, et du coup j'ai encore surbaissé le guidon. J'avoue que j'étais très soucieux de savoir si en compétition j'allais supporter jusqu'au bout ce profil agressif. Et en fait, cela a parfaitement marché. "] 

Propos recueillis par X / Tony-martin.de, dimanche 17 février 2013

lundi 4 février 2013

Dumoulin va très vite, Dumoulin va très fort

Samuel Dumoulin (France / AG2R La Mondiale) [vainqueur de la 5e étape de l'Etoile de Bessèges] : " A la pédale, je ne pouvais pas battre Coquard. Je connaissais le rond-point des quatre cents mètres et je l'ai bien observé à nouveau avec la vue aérienne de Google : il forme un virage en deux temps. J'ai pris large, relancé à bloc, et le trou était fait. "

Propos recueillis par Gilles Comte / L'Equipe, lundi 4 février 2013