dimanche 27 avril 2014

Gerrans l'épicier ou Gerrans le tardif

Simon Gerrans (Australie / Orica-GreenEdge) [vainqueur de Milan-San Remo 2012 et de Liège-Bastogne-Liège 2014] : " Depuis que je suis jeune, je rêve de gagner Liège-Bastogne-Liège, et c'est devenu une réalité. J'ai commencé le cyclisme à 17 ans, et Phil Anderson [qui fut, en 1981, le premier Australien à porter le maillot jaune du Tour de France] était mon premier entraîneur. Alors comme j'ai commencé tard, il est logique que je remporte aussi mes plus belles victoires assez tard. "

Propos recueillis par X / Rtbf.be, dimanche 27 avril 2014


Simon Gerrans au départ de l'édition 2012 de la doyenne des classiques, place Saint-Lambert à Liège. Photo PhiLo (photographie libre de droits si elle apparaît avec la mention suivante, "Photo PhiLo / Jattendsmontour.blogspot.fr")

mercredi 23 avril 2014

Andy, c'est stop ou c'est encore ?

Andy Schleck (Luxembourg / Trek Factory Racing) [vainqueur du Tour de France en 2010, deuxième en 2009 et en 2011] : " J'ai donné beaucoup au Tour et je n'ai jamais fait de mal au vélo. Je n'ai jamais fait de conneries, contrairement à d'autres. Le vélo, c'est mon métier et ma passion. Je reste un grand fan de cyclisme. Quand j'ai regardé Milan-San Remo à la télé, je devenais de plus en plus nerveux à l'approche de l'arrivée, mes pulsations montaient, comme si j'étais en course. Après le vélo, une autre vie commencera. Elle sera cool, elle aussi. "

Propos recueillis par Jean-Luc Gatellier / L'Equipe, mercredi 23 avril 2014

samedi 12 avril 2014

Le dessus du panier au-dessus des pavés

Fabian Cancellara (Suisse / Trek Factory Racing) [vainqueur de Paris-Roubaix en 2006, 2010 et 2013 ; troisième en 2014] : " La sensation sur les pavés ? Plus tu vas vite, moins ça fait mal. C'est pour ça que tu dois arriver dessus comme dans un sprint. Si tu roules à bloc, tu voles au-dessus des pavés. Sssssioum ! "

Propos recueillis par Henri Seckel / Le Monde, samedi 12 avril 2014

"L'Enfer du Nord" vu par Cancellara

Fabian Cancellara (Suisse / Trek Factory Racing) [vainqueur de Paris-Roubaix en 2006, 2010 et 2013 ; troisième en 2014] : " Paris-Roubaix, c'est une course pour les fous. C'est l'enfer du Nord, vraiment. Une course unique. "

Propos recueillis par Henri Seckel / Le Monde, samedi 12 avril 2014

jeudi 10 avril 2014

"L'Enfer du Nord" vu par Tchmil

Andreï Tchmil (Moldavie) [vainqueur de Paris - Roubaix en 1994] : " Le seul journal occidental qu'on pouvait lire [en URSS], c'était L'Humanité. Quand on voyait les photos de Paris - Roubaix, on avait le sentiment que les coureurs sortaient des champs de bataille de la Première Guerre mondiale. Cela nous fascinait. Mes images les plus marquantes restent celles de Bernard Hinault en 1981 avec son maillot de champion du monde. "

Propos recueillis par Philippe Le Gars / L'Equipe, jeudi 10 avril 2014