Bruno Reverberi (Italie) [créateur et directeur sportif de l'équipe cycliste Bardiani-CSF] : " Fausto Coppi, c'était "l'uomo solo al comando della corsa", la célèbre formule de Mario Ferretti, de la RAI. Après guerre, l'Italie avait besoin de nouveaux mythes. Autour de Coppi et Bartali, il y avait un certain pathos qui dépassait la réalité, mais jamais le Giro n'a été si populaire. "
Propos recueillis par Philippe Brunel / L'Equipe, mercredi 13 mai 2015
mercredi 13 mai 2015
dimanche 10 mai 2015
Contador et l'utopique doublé
Alberto Contador (Espagne / Tinkoff-Saxo) [vainqueur du Tour de France en 2007 et 2009, du Tour d'Italie en 2008, du Tour d'Espagne en 2008, 2012 et 2014, il tente en 2015 le doublé Giro-Tour] : " J'ai devant moi plus d'inconnues que de certitudes. Mais j'aime le risque et ce doublé m'électrise. "
Propos recueillis par Philippe Brunel / L'Equipe, dimanche 10 mai 2015
Propos recueillis par Philippe Brunel / L'Equipe, dimanche 10 mai 2015
samedi 2 mai 2015
Le juge Pinot
Thibaut Pinot (France / Equipe cycliste FDJ) [3e du Tour de France en 2014, vainqueur de la cinquième étape - l'étape reine - du Tour de Romandie] : " Quintana avait de bonnes jambes. Froome revient gentiment. Nibali est encore un peu juste, mais il était au même niveau en 2014 et cela ne l'a pas empêché de remporter le Tour de France. Il reste deux mois jusqu'au départ. C'est en juillet qu'il faut être prêt. Il n'y a donc pas beaucoup d'indications à tirer de cette étape en Valais dans la perspective du Tour de France. Pour moi, c'est tout bonus et ça fait du bien au moral. "
Propos recueillis par Christophe Spahr / Lenouvelliste.ch, samedi 2 mai 2015
Propos recueillis par Christophe Spahr / Lenouvelliste.ch, samedi 2 mai 2015
King Küng
Stefan Küng (Suisse / BMC Racing Team) [champion du monde de poursuite en 2015, vainqueur de la quatrième étape du Tour de Romandie] : " Mon directeur sportif m'a demandé d'attendre les autres [après la descente du col de Sorens], mais ils ne venaient pas. Donc j'ai décidé d'y aller. Il restait vingt-cinq kilomètres, la dernière partie était en faux plat descendant, le vent favorable, ça faisait un effort de trente minutes. J'ai juste dit à mon DS d'arrêter de me parler ; quand je fais une poursuite, je n'aime pas que quelqu'un me gueule dans l'oreille. "
Propos recueillis par Alexandre Roos / L'Equipe, samedi 2 mai 2015
Propos recueillis par Alexandre Roos / L'Equipe, samedi 2 mai 2015
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