Florian Sénéchal (France / Quick-Step Floors) : " L'équipe m'a mis sur les grandes courses, elle me fait confiance. Si ça n'allait pas, je le saurais. [Le directeur général Patrick] Lefévère, c'est un patron, il n'y va pas par quatre chemins. Dimanche [à l'issue du Tour des Flandres] il m'a dit : "L'an dernier tu étais un mauvais coureur, cette année tu es un bon coureur, l'an prochain tu seras un champion". "
Propos recueillis par Jean-Pierre Bidet / L'Equipe, vendredi 6 avril 2018
vendredi 6 avril 2018
lundi 2 avril 2018
Moser avoue sans gêne
Francesco Moser (Italie) [250 victoires en seize années de professionnalisme ; vainqueur de Paris-Roubaix en 1978, 1979 et 1980] : "Moi j'ai toujours préféré acheter les autres. Vendre, ce n'était pas dans mes gènes . "
Propos recueillis par Philippe Brunel / L'Equipe, lundi 2 avril 2018
Propos recueillis par Philippe Brunel / L'Equipe, lundi 2 avril 2018
vendredi 30 mars 2018
Au sujet des fantômes Armstrong, Ullrich, Virenque et Jalabert
Wouter Vandenhaute , patron des Flanders Classics, société à laquelle appartient le Tour des Flandres : " Je suis libre et je pouvais me permettre d'inviter Lance Armstrong [finalement retenu au Texas pour des raisons familiales]. On m'accuse de chercher la controverse mais quand on prend des initiatives dans un monde du vélo qui ne bouge pas, c'est sûr que tout devient une controverse. J'ai beaucoup de mal avec cette double morale dans le cyclisme. Si on est fiers de Richard Virenque et Laurent Jalabert, on doit l'être aussi de Lance Armstrong et Jan Ullrich. Il n'y a aucune raison intellectuelle et émotionnelle qu'on puisse pardonner à certains et pas à d'autres. "
Propos recueillis par Philippe Le Gars / L'Equipe, vendredi 30 mars 2018
Propos recueillis par Philippe Le Gars / L'Equipe, vendredi 30 mars 2018
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